Première édition du printemps du handicap

Pour la première fois, l'Association de défense des Malades, Invalides et handicapés (AMI), organise le Printemps du handicap. Une multitude d’animations sont au programme sur l’ensemble du département. 

affiche2012rm.jpgAvec près de 50 événements en Saône-et-Loire dont une bonne partie en Mâconnais, le Printemps du handicap se déroulera du 11 au 21 mai et s’annonce animé et festif.

 « L’objectif est à la fois de sensibiliser le public au handicap, mais aussi de rassembler autour d’une manifestation, les associations qui travaillent dans ce domaine, explique le président national René Magny. La notion du vivre ensemble est très importante ».

Vous pouvez consulter le programme des manifestations sur le site : www.printemps-handicap.org  


Parmi toutes les animations proposées, l’Embobiné organise deux séances de projection du film « Hasta la Vista » de Geoffrey Enthoven, au cinéma le Marivaux à Mâcon, le lundi 14 mai à 14h30 et à 21h00, suivies d'un débat sur la sexualité chez les personnes en situation de handicap.

poster_167626.jpgSynopsis :Trois jeunes d’une vingtaine d’années aiment le vin et les femmes, mais ils sont encore vierges. Sous prétexte d’une route des vins, ils embarquent pour un voyage en Espagne dans l’espoir d’avoir leur première expérience sexuelle. Rien ne les arrêtera… Pas même leurs handicaps : l'un est aveugle, l'autre est confiné sur une chaise roulante et le troisième est complètement paralysé.

 Dans ce road-movie, « le voyage est plus important que la destination »,explique le réalisateur flamand, Geoffrey Enthoven, qui a voulu raconter « une histoire sur l'amour, l'amitié inconditionnelle et la luxure ». Il alterne scènes d'humour et moments d'émotion, les personnages sont tour à tour têtes à claques et très sympathiques, et les surprises ne manquent pas.C'est l'humour qui aide à persuader le public que les handicapés sont comme les autres, avec leurs désirs, leurs joies, leurs peines: « La comédie, c'est la confiture qui fait avaler la pilule », poursuit Geoffrey Enthoven.

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